| Laisse moi zoom zoom zangthe universe opens | | Ven 2 Aoû - 18:25 |
JO DO JIN
Laisse pas traîner ton fils
surnom : Kai depuis qu'il s'est baré, depuis qu'il a tout lâché et assumé. Son surnom qui est dorénavant son prénom. Il se sent plus Kai, il est Kai et il vit en tant que tel. Surnoms, y'en a des milliers, selon le partenaire de la veille, c'est une nuit "mon minet", un beau matin "sunshine" et en fin de soirée "p'tit cul". âge, date & lieu de naissance : 19 années ou de foutages de gueule depuis le 02 décembre 2000 à Busan city. origine & nationalité : Nationalité coréenne, plus pratique pour l'intégration et la confiance dans le pays et les lits inconnus d'une nuit, mais des origines taïwanaises parce que la perfection, ça n'existe pas occupation : Fait l'tapin, profite du lit taille T2 d'un vieux déshydraté et du frigo d'un crevard à qui il a dévoué toute sa sincérité. Peace. sexualité & situation matrimoniale: Célibataire et c'est bien mieux ainsi, car l'amour ne fait pas venir l'argent, donc ce n'est pas intéressant, avec un verre d'eau, c'est mieux rang social le rang clochard sous les ponts qui se fait sa money avec son corps amoché, ça existe dans les registres ?
(( SUPERNOVA )) feat james teeradon - Code:
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<a href="http://seoul.forumactif.com/t869-laisse-moi-zoom-zoom-zang" class="prez">▼</a>[b]james teeradon [jamy james - 9x9][/b] [i](( jo do jin ))[/i]
| Caractère
Adorable Il sait se rendre mignon en prenant des voix plus aigues que la sienne et des aegyos à tout-va. Il va se coller un peu, appuyer sur ses lèvres et agrandir son regard pour capter la tendresse. Amical Digne d'une grande confiance amicale, il est un bon ami à qui il est possible de se confier. Il sera toujours présent pour ses amis et saura leurs faire plaisir et leur donner le sourire. Laxiste La vie est courte et nous ne sommes pas grand-chose sur cette Terre. Cette philosophie de pensée l'entraîner à se foutre de pas mal de choses qui l'entoure et à s'en battre de certaines de ses actions. Distrait Une mouche peut attirer son attention pendant cinq bonnes minutes, suivi d'un petit vieux qui traverse la route pendant deux bonnes minutes jusqu'à ne plus l'avoir dans son champ de vision. Un avion qui passe dans l'encadré d'une fenêtre va capter ses pensées jusqu'à ne plus le voir et il va étudier un autre passage sur car jusqu'à arriver à son arrêt. Il est très facilement distrait par ce qu'il l'entoure et peut passer beaucoup de temps juste à regarder et parfois à commenter avec la personne qui se trouve à ses côtés (avec ou sans son bon vouloir, donc parfois, il lui arrive de parler tout seul). Rêveur Pendant ses absences, il lui arrive de penser à un autre monde ou une autre personne que lui. Avoir des supers pouvoirs et vivre sur un tout autre territoire. Il rêve d'être une femme ou de se réveiller en tant qu'une libellule. Rien n'arrête un grand rêveur. Enfantin Il ne veut pas l'abandonner, son âme d'enfant. Il y tient trop, car le monde dans lequel il est, il le trouve bien trop effrayant. Dans un monde imaginaire qu'un enfant peu inventer, il arrive à surpasser sa peur du monde réel. Compétitif Il se met dès qu'il le peut au défi. Il veut goûter au maximum à l'adrénaline et il veut connaître l'inconnu. Il ne possède rien, il pense n'avoir rien à donner sauf son amitié, donc il pense n'avoir rien à perdre. Joueur Si son compagnon commence à le taquiner, il va répliquer et pas lâcher le morceau. Il est joueur et résistant. Il aime se lancer même si parfois, les jeux auxquels il se mêle ne sont pas toujours soft. Culotté Proche du sans-gêne, il fout des claques aux fesses à une jolie fille qui a un joli cul. Il embrasse la joue d'un mec sans son autorisation parce qu'il est mignon. Il va te balancer que pour ta santé, tu devrais perdre quelques kilogrammes. Il est CUL-OTTÉ ! Bavard En plus de ne pas avoir la langue dans sa poche, il a tendance à trop parler, même tout seul, sa langue est trop souvent mouvante. Beau parleur Est-ce à cause de trop parler qu'il en vient à raconter des bobards ? Des récits fantaisistes sortis tout droit de son cerveau anticonformiste, ce gars est complètement barré. Buté Tête de lard, même s'il est curieux et plus ou moins ouvert d'esprit, quand il veut faire quelque chose et qu'il en a décidé ainsi, il est impossible de l'arrêter. Capricieux Pareil pour posséder, que ce soit un objet ou un être vivant, il ne cède pas si vite. Caractériel Imprévisible et de manière récurrente excessive, il ne se laisse pas marcher dessus et ne renferme pas ses émotions. Il les crie, il pleure et il aime très fort. Le jeune homme féminisé est très passionnel. Séduisant Il aime jouer avec sa langue qui lèche ses lèvres, le bout de ses dents qui mordille sa bouche, les clins d'œil pour interpeller, les douces et lentes caresses pour faire frissonner et les belles paroles pour attendrir les beautés. Comique La vie a un goût amer, alors il enfile régulièrement le rôle d'un petit clown pour saupoudrer les minutes d'un peu de sucre pour les rendre plus douces et mémorables. Cynique Parce qu'il s'en balance de pas mal de choses, il prend même du plaisir à aller contre les règles établies. Il n'a pas vraiment de principes fixes, car même si un règlement existe, il est toujours possible de le contourner. (notamment si intervient l'argent) Théâtral Expressif et à en rajouter une fois sur deux, il est un véritable comédien sur patte, qui prend beaucoup d'espaces autour de lui pour être ou ne pas être. Artistique Même si vivre sous les ponts n'est pas l'endroit le plus charismatique pour briller, le garçon s'amuse à rejouer les grandes scènes de théâtre ou de cinéma qui l'ont tant marqué. Niveau vêtement, il laisse son âme et ses émotions parler. Son physique est le reflet de ses pensées. Dynamique Difficile à arrêter, à canaliser, c'est une petite boule de nerfs qui est très peu fatiguée notamment grâce à la coke qui est sniffée. Attachant Même s'il est chiant, à des moments énervant, le garçon nous pique le cœur avec sa grande tendresse et l'amour grand qu'il offre à son prochain. Collant Tactile, il aime sentir de la chaleur, toucher la peau, faire des étreintes à ses amis et ses nouveaux amis d'une nuit.
Anecdote
+ À un voyage scolaire, je dormais avec deux autres personnes dans une tente. Les filles et les garçons n'étaient pas mélangés ensemble pour éviter tout geste déplacé et interdit. Sauf que pour moi, j'étais plus tenté lorsqu'il y avait deux garçons que deux filles. Le professeur m'avait placé avec un des gars les plus prétentieux de la classe* et un autre plus ou moins sympathique. Pendant la nuit, mes lèvres vinrent toucher les siennes. Il dormait et il n'avait rien senti. C'était mon premier baiser, un baiser mal placé, vulgaire et secret dont je suis le seul à connaître son existence.
*Celui qui m'a balancé quelques mois plus tard à toute la classe de son homosexualité.
+ Pour l'université, j'avais postulé à des écoles de mode. Mon rêve était de créer des vêtements, d'imaginer un accoutrement de la tête jusqu'aux pieds. La fois où j'ai révélé mon homosexualité à mes parents et qu'ils m'ont ordonné de quitter le foyer, j'ai brûlé tout les croquis que j'avais réalisé depuis des années. Mes carnets sont devenus des cendres et, en même temps, nous nous sommes envolés et nous avons disparu d'ici.
+ Ma première relation sexuelle a été un véritable échec. J'ai perdu ma virginité avec un homme de la quarantaine d'années que je ne connaissais que depuis dix minutes. Il m'avait payé plusieurs verres pour me détendre et que nous puissions échanger quelques mots. Il m'avait entraîné dans un vieux motel du coin. En cinq minutes et ivre, j'avais perdu ce que beaucoup de personnes chérissaient. Il m'avait offert une cigarette, la première que j'avais fumée et il était parti après sa clope. Il avait payé pour la nuit, alors j'avais profité de la chambre jusqu'au bout. C'était au moins un toit et trois billets de gagnés.
+ Une fois, j'avais recroisé ma mère à Séoul dans la grande surface qui avait remplacé le tout premier logement dans lequel Kitty et moi avions vécu. Elle s'était achetée une nouvelle robe. De loin, je l'avais regardé cinq minutes. Pour une mère qui avait perdu son enfant, elle ne semblait pas triste pour un sou. Tout n'avait été qu'une question d'apparence et d'intégration dans la société pour elle. Elle n'y en avait que pour sa pomme. Je ne lui avais rien demandé, je ne l'avais jamais blâmé sauf sur le fait de m'avoir donné le même prénom que son acteur préféré : Won Bin. C'était d'un ridicule. Puis, j'étais partie pour reprendre ma vie, rejouer l'autre que j'étais pour oublier l'ancien du passé.
+ Quand j'avais annoncé à la bande de quatre tocards que j'étais gay, ils m'avaient tous regardé d'un regard blasé. Ils s'étaient mis à rire et à me charrier. Ils m'avaient dit qu'ils le savaient déjà. Je ne pensais pas que mon homosexualité était marquée sur mon front. En dépit de cette annonce, ils ne m'avaient pas rejeté et bien au contraire. Ils avaient apprécié ma sincérité. J'avais versé ma petite larme pourtant, je me forçais à ne pas être facilement sensible, mais ce soir-là, je m'étais senti bien et accepté même si ce n'était que par quatre personnes sur toute cette planète.
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- vanidamsv a écrit:
- Si tu avais été une fille, ta vie aurait été autrement.
- ____blank_blank____ a écrit:
- Arrête de faire ton malheureux, y'a pire, des gays y'en a partout. ಠ_ಠ
- benitaowobi a écrit:
- Dis leur une bonne fois pour toute tu seras soulagé. ( ͡~ ͜ʖ ͡°)
- mamaliangs a écrit:
- Suicides-toi ?
J'ai découvert à mes douze ans que j'avais une attirance forte pour le sexe masculin. Longtemps, je me le suis caché, j'ai nié l'évidence. Ma mère n'a jamais été dupe à ce sujet. Taïwanaise, elle a toujours fabulé sur la Corée du Sud et les coréens. Adolescente, elle voulait se marier avec un chanteur de boysband coréen aux cheveux décolorés. Elle a donc économisé en accumulant des heures en tant que serveuse dans deux restaurants différents, un la journée et l'autre la nuit. Clairement, elle en pouvait plus, elle était à deux doigts de craquer, mais elle a pu accomplir son rêve : celui de se barrer d'ici pour aller à Séoul City. Arrivée sur place, elle a vite désenchanté. Elle n'a pas réussi à trouver un boulot assez décent qui permettait de gagner sa croûte. La vie était si chère et les loyers à s'en tirer les cheveux. Par un contact qu'elle s'est faite sur place, elle a déniché un job à la campagne de Busan. Là-bas, elle partageait une location de vingt mètres carré avec deux autres femmes. Quelques mois plus tard, elle rencontra un homme. Il disait travailler dans les affaires, alors qu'il était préteur sur gage. Le charmant garçon qui savait danser et chanter en même temps n'était pas du tout son style. Lui, il mâchait son chewing-gum ou un cure-dent toute la journée. Il portait des vieux costumes des années quatre-vingts ou quatre-vingt-dix. Il plaquait ses cheveux en arrière en mettant bien trop de gel et il portait presque tout le temps des lunettes de soleil, qu'il pleuve ou non. Il se voulait mystérieux et méchant, alors qu'il était plus ridicule et facilement manipulable. À peine deux mois qu'ils se fréquentaient, que le faux mafieux demanda la fille taïwanaise en mariage. Et la nuit du mariage, ils m'ont conçu. Tout a été très rapidement et les gens pensaient que tout allait capoter. Pourtant, c'était la pair, la combinaison parfaite. Lui, il ne pensait jamais pouvoir se marier, elle voulait de l'argent pour s'acheter au moins une nouvelle tenue par jour. Leurs désirs ont été comblés. En globalité, je n'ai jamais eu de problèmes familiaux. Je n'étais pas particulièrement proche de mes parents, cependant, nous ne nous détestions pas. Tous les dimanches, nous avions un repas de famille. Nous faisons chacune des fêtes de l'année ensemble comme une "famille basique". Lorsque j'ai découvert le monde de l'internet et que j'ai eu mon premier ordinateur, le monde autour de moi se transforma. Je pensais être le seul à éprouver des sentiments amoureux ou tendancieux envers les hommes. Non, je n'étais pas bizarre, d'autres personnes me ressemblaient et ressentaient la même chose. Ce n'est pas la seule chose que j'ai découverte. Derrière un écran, les gens pouvaient être pire qu'en face (#lâcheté). En m'inscrivant sur un forum de discussion, j'avais parlé de mon homosexualité et des gênes quelle provoquait dans ma vie de tous les jours. Après avoir partagé cette part de moi, je me suis fait harceler par des haters. Sans savoir comment ils ont réussi à se procurer mon adresse, j'ai reçu des lettres de menace et de mort. Fuck ! J'aurais peut-être jamais dû m'ouvrir. Ces menaces se sont étendues jusqu'à l'école. Quelqu'un de ma classe m'avait reconnu sur le forum qu'il fréquentait aussi. Malheureusement pour moi, c'était un gros connard. Il a partagé l'information à sa bande de CONNARDS et ils ont pris à cœur joie de me harceler à chaque temps de pause. Au bout d'un moment, j'ai craqué. Entre la dépression, la mutilation, etc, j'ai voulu me barrer. J'ai fait face à mes démons et j'ai annoncé à mes parents qui j'étais vraiment. Le cœur battant. Les jambes tremblantes. Le front suant. « Papa. Maman. J'aime les hommes. » Après l'annonce que j'ai faite à mes parents sur mon orientation sexuelle, je n'ai pas eu d'autres choix que de partir de la maison. À la base, ils m'avaient envoyé chez ma grand-mère dans une province de Corée, sauf que je n'ai pas pris le bus programmé. J'ai fui, loin de mon cocon familial, loin des souvenirs et à cette terre que je ne pouvais plus supporter. J'ai filé à Séoul, juste avec un sac et mes petites économies de mes anniversaires. Clairement, je me suis fourré dans une grosse merde. Je n'avais nul part où aller. Les deux premières nuits, je n'ai pas dormi. Arrivé à la troisième, je me suis simplement effondré dans un magasin. Une vieille grand-mère me fila à manger et accepta de m'héberger quelques nuits. Ne voulant plus m'attacher, je me suis barré. Je me sentais anormal, différent de tous, pensant être une vermine qui ne méritait pas sa place dans ce monde. Puis, j'ai fait la mauvaise rencontre ou la bonne, selon les points de vue de chacun. C'était un jeune garçon très efféminé avec des traits plus ou moins fins. Il prenait une voix aiguë et il tendait toujours le petit doigt de sa main. Il avait une mèche rose décolorée parmi sa touffe noire et il portait tout le temps du gloss. Il se faisait appeler Kitty. Il m'a amené dans son territoire souterrain, le monde de la nuit, les grands spectacles et les paillettes qui en jettent plein les yeux. La nuit de sa rencontre, j'ai pu dormir dans "sa chambre de travail" m'avait t-il dit. Elle empestait la clope et les murs avaient des traces noires d'humidité. Nous avions passé toute la soirée à boire des bières et à parler de notre passé. Le lendemain, Kitty m'a présenté à son grand patron qui lui, à l'opposé de mon père, pouvait vraiment faire chier un mec dans son froc tellement qu'il était intimidant. Il m'a dit de sa voix grave et imposante que j'avais le corps pour ce business et que j'allais gagner beaucoup d'argents. Pour remplir mon compte en banque, je n'avais pas grand-chose à donner et à faire, juste à vendre mon corps et à répondre aux attentes des clients. Il me fila un contrat que j'ai signé aussitôt, car de toute manière, je n'avais nul part ailleurs où aller. Sur le moment, je me suis dit " Tout le monde finit par crever." Aussitôt après la signature, Kitty m'enleva, tout excité que je rejoigne la troupe, pour aller me trouver une nouvelle tenue. Il me conseilla de prendre un nouveau nom pour ce nouveau départ. « Il te faut un nouveau nom pour ta nouvelle personne. Ça t'aidera, tu comprendras plus tard. » Au début, je n'avais pas compris ce qu'il voulait sous-entendre. Alors, en passant outre sa mystérieuse phrase, je me suis trouvé une nouvelle identité. C'est à partir de là que j'ai commencé à devenir un peu schizophrène. Je différenciais deux personnes, Do Jin et, mon autre moi : Kai. Une semaine plus tard, Kitty a été tabassé à mort par un de ses clients. Il avait dix-neuf ans. À son enterrement, il n'y avait que moi et la grand-mère de la supérette chez qui il allait toujours faire ses courses et acheter son paquet de Malboro. Le logement où je vivais avec lui a été détruit pour laisser place à une future grande surface. Une trentaine de personnes misent à la rue pour pouvoir y exposer des portables et des sac à main de luxe. Mon dix-huitième anniversaire, je l'ai fêté sous un pont, en compagnie des autres clochards qui y vivaient, comme moi. À croire que j'y avais pris goût ou l'habitude de vivre ici. Avec les autres, nous nous serrions les coudes quand il fallait se remonter le moral, de réchauffer et trouver un morceau à manger. Mon anniversaire me restera toujours marqué. Je n'ai pas eu le droit à une voiture ou à un appartement en plein centre ville, mais à plusieurs personnes en train jouer de divers instruments, avec un feu de joie et un gros cochon cuit à la broche accompagné de ramens industriels. Un jour qui n'a pas eu de fin puisque tout le monde s'est amusé jusqu'au lendemain. Le jour suivant, j'ai rencontré ce qui est aujourd'hui ma bande de potes. Ils avaient l'air d'être tout aussi paumés de moi, peut-être un peu moins. Nous avions squatté dans un bar où l'un d'entre eux travaillait. La fille, elle était quelques fois DJ dans ce lieu. L'autre, il avait les yeux explosés et il m'avait proposé une petite ligne que je n'avais pas refusée. L'un barman, l'autre DJ, l'autre dealer et moi prostitué. De loin comme de près, nous étions : Quatre crevards, qui passent leurs soirées ensembles. Soudés, comme une famille. Unis dans la perdition. Les premières soirées, nous avions accumulé les soirées. Tous les jours, nous nous retrouvions pour se la mettre à l'envers et discuter des grandes philosophies, de nos rêves et de nos envies. Je n'ai jamais parlé précisément de mon passé et c'était chacun pareil. Une part de silence prenait une grande partie de notre amitié, mais nous nous en branlions. Tout ce qui importait, c'était notre amitié, aujourd'hui et maintenant, à ce moment précis. « Je t'aime pour ce que tu es. » À ce jour, mon cul me sert toujours de gagne-pain. Mon semi-logement n'a pas bougé du dessus le pont. Toutefois, il m'arrive parfois de squatter chez de bons samaritains qui veulent bien me laisser me reposer chez eux. Les jours passent et je me fais de plus en plus vieux. Les nuits, je me sens me perdre dans une autre galaxie. Je m'en suis inventé une, les soirs où je prends de la coke avec un client ou mes amis, le soir où je vends mon corps pour quelques billets, les matins où je n'arrive pas à me lever et les après-midi au pont avec l'envie d'y passer une bonne fois pour toute. Alors, chaque jour, je change ma stéréo espérant toujours danser sur la piste de danse glissante qui nous offre la vie et ne jamais m'emmerder de sa musique. |
| | the universe opens | | Ven 2 Aoû - 22:12 | BIENVENUUUUE, hâte de voir la suite de cette fiche du coup ! |
| | the universe opens | | Sam 3 Aoû - 13:14 | @KWON JISOO Woo Do Hwan je le joue sur un autre forum, ce mec est mon bébé, je l'aime tout particulièrement d'un amour profond et tendre merci |
| | the universe opens | | Sam 3 Aoû - 13:27 | |
| | the universe opens | | Sam 3 Aoû - 16:23 | |
| | the universe opens | | Sam 3 Aoû - 17:05 | |
| | the universe opens Age : 23 Quartier : gangnam gu - cloitré chez papa maman Occupation : le cul collé sur les bancs des amphi de droit Côté coeur : (l e i d e n) sexualité libre, déviante, curieuse, secrète ; finalement lassante, épuisante. carapace finement percée, coeur autrefois impénétrable discrètement capturé, lentement accroché, secrètement possédé. Pseudo : hikkoshi DC / TC : none RP : ok pour un rencard ♥ Crédits : good boi & molla & chonchon Messages : 699 Comètes : 1725 | | Dim 4 Aoû - 11:30 | SALUT TOI, t'es bien joli Bienvenue et bon courage pour ta fiche Je viendrais sans doute te gratter un ptit lien ~~ |
| | the universe opens | | Dim 4 Aoû - 15:19 | salut TOI merci pour ta gentillesse et je t'attendrai sagement pour le lien alors, sans doute |
| | ( 배에이든 ) • Dramama ramama hey the universe opens Age : 23 Quartier : Gangnam-Gu Occupation : Le nez dans les lois, à essayer de se les imprimer dans le crâne. Encore un an à accomplir avant de faire sa place dans le milieu professionnel. Côté coeur : Une femme qu'il n'a jamais désiré absente, partie étudier à l'étranger. Une belle excuse pour justifier son coeur triste aux yeux du monde. Il en tait la véritable raison, le départ soudain de Shin. Ruiné, refusant d'encore aimer, il passe ses nuits à oublier en offrant son corps à celui qu'il méprise. Sali par Lei telle une punition. Persuadé qu'il s'agit là de la meilleure solution pour ne pas risquer de se faire prendre au piège par des sentiments. The notes :
Regarde toi t'es pas un X-men
La fierté prend toute la place dans tes yeux
Comment tu veux voir les choses comme elles sont vraiment?
Regarde toi t'es pas un X-men
T'es pas Logan t'es pas Wolverine
Tes plaies ne se referment pas toutes seules
Faible comme un faible comme un autre
♡
| BAE ALLEN |
h a l f o f m e
We walked in the same direction. But this place is our last. We used to talk about forever
But we’re breaking each other down. I thought we had the same dream. But that dream became just a dream. My heart is ripping, just set it on fire. So the pain and the feelings won’t remain
Even you can’t understand me
⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯ ★ ⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯
| KANG LEI HWAN |
m a s t e r
There's no escape, I can't wait. I need a hit, baby, give me it. You're dangerous, I'm loving it. It's getting late to give you up. I took a sip from my devil's cup. Slowly, it's taking over me. Taste of your lips, with the taste of a poison paradise.
I'm addicted to you, don't you know that you're toxic ?
Try to erase myself and make me your doll
⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯ ★ ⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯
| MILES JUN |
n e e d y o u
Trapped in a maze of decisions. I hope we’re going toward paradise. Know this, sometimes lies will try to tear us apart. Hardships will try to deceive us but just focus on me then. In the darkness, just the two of us is enough. In all these lies, if we’re together, even an endless maze is paradise
You’re my start and my end, that is all
⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯ ★ ⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯
| SEO SHIN SUNG |
h e a r t b r e a k
Bébé serre moi fort que j'oublie que c'est le chaos, Autour c'est le chaos. Regarde-nous le destin n'a pas honte. Les dieux n'ont pas honte. Garde le sourire plus rien est grave. Tant qu'il nous reste une seconde de souvenir dans le crâne. Nos deux corps pourraient mourir, j'ai déjà fait le deuil. Maintenant pars loin de moi, une larme cachée dans l'oeil.
Notre histoire n'aurait jamais pu finir dans le calme et la tendresse.
⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯ ★ ⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯
| EUN JI MOON |
d o o m e d b r i d e
Don’t be sorry. That makes me more pitiful. With your pretty red lips, please hurry, kill me and go. Please fade, fade to black
I'm so sick of this fake love
♡
• • • • • • • • • • • • •
LET IT HURT UNTIL IT CAN'T HURT
I’m praying to live as I try to endure
With the piercing eyes on me
I’m going insane
Even if I succeed
I’ll be someone’s clown
I’m getting weak
But I keep pushing myself
• • • • • • • • • • • • •
Pseudo : mollamolla DC / TC : Kwon Wu Bin, Park Hyun Woo, Baek Seo Hyung RP : libre Crédits : mollamolla Messages : 520 Comètes : 1166 | | Lun 5 Aoû - 0:27 | Je te valide mon bichon Amuse toi bien (Et je préviens, vous pas toucher à la kékétte de @kang lei hwan Sinon Aiden va pas être content )
welcome
let's go !
Et voilà, tu es enfin prêt à commencer ton aventure trépidante sur SGMF !! Tout d'abord, encore bienvenue à toi, j'espère que tu vas t'amuser comme un petit foufou parmi nous. Ensuite, le tralala habituel, on ne change pas les bonnes habitudes n'est ce pas ? Tout d'abord , je vais te demander d'aller créer le sujet de ton activité RP et si tu veux des amis , je te conseille d’aller créer ta fiche de liens. Ensuite, si tu ne veux pas rester à la rue, tu peux venir demander un logement et pour payer ton loyer, tu peux aussi venir nous informer de ton metier ou de tes etudesPour terminer, tu peux venir faire le thug des réseaux sociaux en créant ton cellphone et ton compte Instagram. Si tu t'ennuies, viens faire un petit tour sur le flood pour t'enjailler. LA BISE, profite de la vie et shake ton booty. |
| | the universe opens | | Lun 5 Aoû - 10:46 | merci pour la validation et j'essaierai de faire attention à qui je touche, par contre, qui me touche, ça c'est une autre histoire je m'envole |
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